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Le 29/08/2023
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Le 06/09/2019
Le 31/01/2018
Diaporama : La Corse juillet 2016
Pour un séjour en Corse inoubliable, le mieux, c’est de se joindre à un groupe de randonneurs ; les émotions seront multipliées
par le nombre de participants.
Le choix du bateau permet entre autre, de comprendre que la Corse est une île, et c’est important pour ceux ou celles qui n’ont
pas le pied marin, mais la traversée à la nage est à proscrire.
Le 12 juillet ,au départ donc : Christian, Manu , Gilles, Eliette , Daniel, Mimi , Jean Luc, Francis , Gislaine , Dominique ,
Christiane, Yvon, Evelyne, Stéphanie, Sandrine, et moi-même ;( Manu et Gilles repartiront à peine débarqués à Bastia pour les
tristes raisons que vous connaissez) ;
Le voyage jusqu’à Toulon, ponctué des poses syndicales obligatoires (Aire de Corrèze, et autres) s’est effectué dans deux
véhicules loués après d’âpres négociations pour une poignée de dollars. Huit dans chaque véhicule, c’est magnifique et ça
loge…avec les bagages ! Visite de MARTEL (lot) pour ne pas arriver trop vite à Toulon. Bon timing*, nous ne ratons pas
l’embarquement.
A l’arrivée le lendemain (13 juillet), l’île est là, au rendez-vous, scintillante de lumières bleues et or.
Oh, la, la, la c’est magnifique !
Le temps de prendre les différentes dispositions pour le retour de Manu et Gilles, nous ne quittons l’agglomération de BASTIA,
qu’après le déjeuner, pris dans un restaurant de BORGO. Direction la maison forestière de Tartagine. On cherche un peu,
mais pas trop. A OLMI CAPPELLA des autochtones nous renseignent :
« ne dites pas que c’est moi qui vous l’ai dit, mais le gite c’est par là,… je ne sais pas si ils ont refait la route.. »
On s’engage sur une route très étroite, qui suit le flanc de la montagne. Commentaire du Petit futé : « route sauvage et
rustique ». Deux crevaisons confirmeront qu’elle est rustique ; Il faut compter 30 minutes pour faire les 18 km, entre OLMI
CAPPELLA et le gite, mais :
Oh, la, la, la, c’est magnifique !
Le gite est niché au bout de cette route en cul de sac, non loin du torrent, encadré de pins laricio. Nous testons dès le soir
même la qualité de la Pietra sur la terrasse. Les chambres sont fonctionnelles (Elles sont toutes équipées de lits…) La cuisine y
est bonne, preuve en est, ce petit renard qui vient discrètement tous les jours finir les restes des repas, dans une gamelle mis à
sa disposition à proximité de la terrasse. Ou peut-être est-ce son frère. Il tire un peu la gueule d’ailleurs car depuis que nous
sommes là, il n’y a plus de reste ou si peu.
Le lendemain, 14 juillet, circuit de MAUSOLEO : Le chemin ombragé de pins et de chênes verts suit le torrent et le traverse
par de remarquables ponts génois. On y admire de nombreux vestiges d’un passé laborieux. La signalétique est bonne
jusqu’au village où nous abandonnons Yvon à son triste sort, (cruralgie corsée). Retour par la piste, la deuxième partie du
circuit n’étant praticable que par les vaches corses, qui ont leurs propres repères. Nous retournerons chercher Yvon un peu plus
tard en bus.
15 juillet : destination L’ILE ROUSSE, en passant par le col de BATTAGLIA, pour faire réparer la 1ère roue :
Oh puti !que c’est beau !
En attendant la réparation, Rando jusqu’au village de OCCIGLIONI, progression aisée jusqu’au village où nous déjeunons sur
« la piazza à l’Olmu » (place de l’Orme) rebaptisée place des fêtards en certaines occasions et justement c’en est une !
Nombreux points de vue sur la mer, toujours aussi bleue. Crêpis chaulés ocres ou blanc, bougainvilliers :
Oh, la, la, la, c’est magnifique !
Nous redescendons par un autre sentier jusqu’à L’ILE ROUSSE, ou Yvon, que nous avons encore abandonné, nous attends
sur le parking de Leclerc.
16 juillet : 2ème crevaison, (véhicule gris) mais qu’à cela ne tienne, rando en boucle au départ du col de Battaglia, descente par
un très beau sentier bordé de chênes verts sur la première partie. Vers ACQUILLACCE OLMI CAPELLA, on a encore perdu
les cairns, on suit une draille quelque temps et on retrouve rapidement la piste du col de Leccia. Le paysage est marqué par
le pastoralisme, murets encadrant des parcelles de montagne, présence des vaches qui nous piquent les meilleurs coins à
l’ombre, mais :
Oh, la, la, la c’est magnifique !
Petit détour par CALVI, achat d’une bombe anti crevaison, (on y croit) visite de la citadelle, photo de groupe, et retour dans les
temps, pour l’apéro.
Le 15/01/2018
Diaporama : Le Cotentin
Le croirez-vous ? Même si Cherbourg est connu par ses parapluies (Les parapluies de Cherbourg, film de Jacques Demy, 1964), nous avons passé une semaine dans le Cotentin sans utiliser l'imperméable... Du soleil et des nuages, du vent marin, une chaleur modérée : des conditions idéales pour marcher.
Pour l'hébergement, un grand gite prévu pour dix-sept personnes nous accueillait ; nous n'étions que onze ; nous avions donc nos aises, d'autant plus que chaque chambre possédait sa salle d'eau et ses toilettes. Le confort...
Nous étions venus avant tout pour marcher ; nous avons donc marché, dans des paysages chaque jour différents.
Nous avons arpenté la cote rocheuse sur le sentier cotier au cap de la Hague (pointe nord-ouest du Cotentin) ; en bord de mer ou du haut des falaises (qui donnaient parfois un air de Pyrénées à notre entreprise), nous avons profité de l'océan au fil des marées.
Nous avons déambulé le long de la cote basse sableuse du côté de Saint Vaast-la-Hougue, Barfleur, Gatteville ; nous avons cotoyé les parcs à huitres pour accéder à marée basse à l'ile de Tatihou (à pieds pas tout à fait secs, puisqu'il a fallu se mouiller un peu pour franchir une vingtaine de mètres).
Nous avons commis une incursion dans les terres où nous avons pu profiter de l'ombrage du bocage normand (Fermanville, val de Saire) ; nous avons découvert au gré des jours les criques de sable fin, les phares et balises, les petits ports (port Racine, port Pignot, port du cap Lévi).
Notre séjour comportait aussi des aspects plus culturels.
Nous sommes remontés à la date du 6 juin 1944, avec la visite de Sainte Mère Eglise, puis du musée du débarquement à Utah Beach ; nous avons arpenté avec émotion une des plages du débarquement.
Autre moment : la visite du musée de la mer à Cherbourg, en quatre temps forts : On a marché sous la mer (mise en scène de l'exploration des grands fonds marins), le sous-marin le Redoutable (visite au cœur d'un monstre d'acier), le monde aquatique (avec son spectaculaire aquarium), Titanic retour à Cherbourg (évocation des voyages transatlantiques au départ de Cherbourg).
Nous avons aussi pu nous rendre compte au gré de nos sorties de la vocation défensive de la cote normande et remonter le fil de l'histoire, que ce soit avec les forts de Vauban, les défenses de l'époque napoléonienne ou plus récemment les fortifications du mur de l'Atlantique.
En résumé, ce fut un séjour plein, équilibré où tout le monde a trouvé son compte.
Merci à Francis et Gislaine pour l'organisation générale.
Merci aux chauffeurs et... aux GPS.
Merci aux cuisinières pour les repas et les pique-nique.
Merci à Dominique pour le volet pâtisserie.
Merci à tous pour la bonne ambiance qui a régné dans le groupe.
Ascension 2017 - Le Boudio Cantal
Le 09/12/2017
Ascension Mai 2017. Gite Le Boudio dans le Cantal.
Diaporama : http://www.kizoa.fr/Montage-Video/d157691947kP642256645o2l1/ascension-2017---le-boudio-cantal
Pour la seconde fois, le traditionnel séjour de l'Ascension s'est déroulé dans le Cantal au pied du Puy Marie. En 1997
au Claux, nous nous rappelons d'un temps exécrable, froid, neige, pluie et vent.
Par contre cette année 2017 à Lavigerie, Chantal et Didier nous ont fait profiter de ces magnifiques montagnes sous
''une tempête de ciel bleu'' .