Articles de randonneurs-bandiat-tardoire
Programme Octobre 2023
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Adhésion 2023-2024
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La Corse 07 2016
Diaporama : La Corse juillet 2016
Pour un séjour en Corse inoubliable, le mieux, c’est de se joindre à un groupe de randonneurs ; les émotions seront multipliées
par le nombre de participants.
Le choix du bateau permet entre autre, de comprendre que la Corse est une île, et c’est important pour ceux ou celles qui n’ont
pas le pied marin, mais la traversée à la nage est à proscrire.
Le 12 juillet ,au départ donc : Christian, Manu , Gilles, Eliette , Daniel, Mimi , Jean Luc, Francis , Gislaine , Dominique ,
Christiane, Yvon, Evelyne, Stéphanie, Sandrine, et moi-même ;( Manu et Gilles repartiront à peine débarqués à Bastia pour les
tristes raisons que vous connaissez) ;
Le voyage jusqu’à Toulon, ponctué des poses syndicales obligatoires (Aire de Corrèze, et autres) s’est effectué dans deux
véhicules loués après d’âpres négociations pour une poignée de dollars. Huit dans chaque véhicule, c’est magnifique et ça
loge…avec les bagages ! Visite de MARTEL (lot) pour ne pas arriver trop vite à Toulon. Bon timing*, nous ne ratons pas
l’embarquement.
A l’arrivée le lendemain (13 juillet), l’île est là, au rendez-vous, scintillante de lumières bleues et or.
Oh, la, la, la c’est magnifique !
Le temps de prendre les différentes dispositions pour le retour de Manu et Gilles, nous ne quittons l’agglomération de BASTIA,
qu’après le déjeuner, pris dans un restaurant de BORGO. Direction la maison forestière de Tartagine. On cherche un peu,
mais pas trop. A OLMI CAPPELLA des autochtones nous renseignent :
« ne dites pas que c’est moi qui vous l’ai dit, mais le gite c’est par là,… je ne sais pas si ils ont refait la route.. »
On s’engage sur une route très étroite, qui suit le flanc de la montagne. Commentaire du Petit futé : « route sauvage et
rustique ». Deux crevaisons confirmeront qu’elle est rustique ; Il faut compter 30 minutes pour faire les 18 km, entre OLMI
CAPPELLA et le gite, mais :
Oh, la, la, la, c’est magnifique !
Le gite est niché au bout de cette route en cul de sac, non loin du torrent, encadré de pins laricio. Nous testons dès le soir
même la qualité de la Pietra sur la terrasse. Les chambres sont fonctionnelles (Elles sont toutes équipées de lits…) La cuisine y
est bonne, preuve en est, ce petit renard qui vient discrètement tous les jours finir les restes des repas, dans une gamelle mis à
sa disposition à proximité de la terrasse. Ou peut-être est-ce son frère. Il tire un peu la gueule d’ailleurs car depuis que nous
sommes là, il n’y a plus de reste ou si peu.
Le lendemain, 14 juillet, circuit de MAUSOLEO : Le chemin ombragé de pins et de chênes verts suit le torrent et le traverse
par de remarquables ponts génois. On y admire de nombreux vestiges d’un passé laborieux. La signalétique est bonne
jusqu’au village où nous abandonnons Yvon à son triste sort, (cruralgie corsée). Retour par la piste, la deuxième partie du
circuit n’étant praticable que par les vaches corses, qui ont leurs propres repères. Nous retournerons chercher Yvon un peu plus
tard en bus.
15 juillet : destination L’ILE ROUSSE, en passant par le col de BATTAGLIA, pour faire réparer la 1ère roue :
Oh puti !que c’est beau !
En attendant la réparation, Rando jusqu’au village de OCCIGLIONI, progression aisée jusqu’au village où nous déjeunons sur
« la piazza à l’Olmu » (place de l’Orme) rebaptisée place des fêtards en certaines occasions et justement c’en est une !
Nombreux points de vue sur la mer, toujours aussi bleue. Crêpis chaulés ocres ou blanc, bougainvilliers :
Oh, la, la, la, c’est magnifique !
Nous redescendons par un autre sentier jusqu’à L’ILE ROUSSE, ou Yvon, que nous avons encore abandonné, nous attends
sur le parking de Leclerc.
16 juillet : 2ème crevaison, (véhicule gris) mais qu’à cela ne tienne, rando en boucle au départ du col de Battaglia, descente par
un très beau sentier bordé de chênes verts sur la première partie. Vers ACQUILLACCE OLMI CAPELLA, on a encore perdu
les cairns, on suit une draille quelque temps et on retrouve rapidement la piste du col de Leccia. Le paysage est marqué par
le pastoralisme, murets encadrant des parcelles de montagne, présence des vaches qui nous piquent les meilleurs coins à
l’ombre, mais :
Oh, la, la, la c’est magnifique !
Petit détour par CALVI, achat d’une bombe anti crevaison, (on y croit) visite de la citadelle, photo de groupe, et retour dans les
temps, pour l’apéro.
Le Cotentin - Juillet 2017
Diaporama : Le Cotentin
Le croirez-vous ? Même si Cherbourg est connu par ses parapluies (Les parapluies de Cherbourg, film de Jacques Demy, 1964), nous avons passé une semaine dans le Cotentin sans utiliser l'imperméable... Du soleil et des nuages, du vent marin, une chaleur modérée : des conditions idéales pour marcher.
Pour l'hébergement, un grand gite prévu pour dix-sept personnes nous accueillait ; nous n'étions que onze ; nous avions donc nos aises, d'autant plus que chaque chambre possédait sa salle d'eau et ses toilettes. Le confort...
Nous étions venus avant tout pour marcher ; nous avons donc marché, dans des paysages chaque jour différents.
Nous avons arpenté la cote rocheuse sur le sentier cotier au cap de la Hague (pointe nord-ouest du Cotentin) ; en bord de mer ou du haut des falaises (qui donnaient parfois un air de Pyrénées à notre entreprise), nous avons profité de l'océan au fil des marées.
Nous avons déambulé le long de la cote basse sableuse du côté de Saint Vaast-la-Hougue, Barfleur, Gatteville ; nous avons cotoyé les parcs à huitres pour accéder à marée basse à l'ile de Tatihou (à pieds pas tout à fait secs, puisqu'il a fallu se mouiller un peu pour franchir une vingtaine de mètres).
Nous avons commis une incursion dans les terres où nous avons pu profiter de l'ombrage du bocage normand (Fermanville, val de Saire) ; nous avons découvert au gré des jours les criques de sable fin, les phares et balises, les petits ports (port Racine, port Pignot, port du cap Lévi).
Notre séjour comportait aussi des aspects plus culturels.
Nous sommes remontés à la date du 6 juin 1944, avec la visite de Sainte Mère Eglise, puis du musée du débarquement à Utah Beach ; nous avons arpenté avec émotion une des plages du débarquement.
Autre moment : la visite du musée de la mer à Cherbourg, en quatre temps forts : On a marché sous la mer (mise en scène de l'exploration des grands fonds marins), le sous-marin le Redoutable (visite au cœur d'un monstre d'acier), le monde aquatique (avec son spectaculaire aquarium), Titanic retour à Cherbourg (évocation des voyages transatlantiques au départ de Cherbourg).
Nous avons aussi pu nous rendre compte au gré de nos sorties de la vocation défensive de la cote normande et remonter le fil de l'histoire, que ce soit avec les forts de Vauban, les défenses de l'époque napoléonienne ou plus récemment les fortifications du mur de l'Atlantique.
En résumé, ce fut un séjour plein, équilibré où tout le monde a trouvé son compte.
Merci à Francis et Gislaine pour l'organisation générale.
Merci aux chauffeurs et... aux GPS.
Merci aux cuisinières pour les repas et les pique-nique.
Merci à Dominique pour le volet pâtisserie.
Merci à tous pour la bonne ambiance qui a régné dans le groupe.
Ascension 2017 - Le Boudio Cantal
Ascension Mai 2017. Gite Le Boudio dans le Cantal.
Diaporama : http://www.kizoa.fr/Montage-Video/d157691947kP642256645o2l1/ascension-2017---le-boudio-cantal
Pour la seconde fois, le traditionnel séjour de l'Ascension s'est déroulé dans le Cantal au pied du Puy Marie. En 1997
au Claux, nous nous rappelons d'un temps exécrable, froid, neige, pluie et vent.
Par contre cette année 2017 à Lavigerie, Chantal et Didier nous ont fait profiter de ces magnifiques montagnes sous
''une tempête de ciel bleu'' .
Séjour raquettes à Névache du 04 au 11 mars 2017
DIAPORAMA : http://www.kizoa.fr/Montage-Video/d157642318k5509114o2l1/névache-032017
Nevache ou la Vallée enneigée,
Départ de la Rochefoucauld le samedi 4 à six heures tapantes pour se retrouver tous à Nevache au Gîte de « la
Découverte ».
L’hébergement au gîte de « la découverte » répond à toutes nos attentes en matière de confort, et d’accueil.
Olivier et sa femme Claudine, les gérants, n’économisent pas leur énergie pour faire de notre séjour une
réussite.
Dimanche 5: Par une belle matinée ensoleillée, mise en jambes et découverte pour certains des raquettes;
Surtout ne pas oublier qu’il n’y a pas de marche arrière et tout roule. Nous allons, tels des manchots empereurs
en migration, jusqu’au col de l’Echelle (1762 m d’alt). Pique nique dans la neige, et retour à Nevache par le même
itinéraire, le temps se couvre et il commence à neiger légèrement.
Lundi 6: Nous retrouvons notre âme d’enfant devant la neige qui a tout recouvert pendant la nuit d’une couette
épaisse. Nous partons sous la neige qui tourbillonne légèrement au refuge de Buffère (2040 m d’alt.). La
progression est aisée sur la route et le chemin enneigés jusqu’au pont du Rately qui enjambe la Clarée. La
grimpette commence juste après et s’accentue jusqu’au refuge. Les efforts sont largement récompensés par le
spectacle de la nature. Au refuge, nous nous installons à une grande table providentiellement libre, pour
déguster avec bonheur la soupe, le vin et le café servis sur place ainsi que notre pique nique tiré du sac. Il nous
faut bien redescendre et laisser cette ambiance chaleureuse. A peine arrivé à « la découverte » Christian se rend
compte qu’il a oublié sa boite à pique nique isotherme, une relique pour laquelle il est prêt à affronter toutes les
intempéries. Nous appelons le refuge. L’homme à la moto (neige) va la déposer le lendemain, à l’office du
tourisme de Nevache. Quel soulagement !
Mardi 7 : La neige est toujours de la partie. Pour contrebalancer l’effort de la veille, nous décidons d’une ballade
en raquettes plus « cool »jusqu’à Plampinet. L’itinéraire ne doit pas présenter de difficulté, mais après avoir longé
la rivière, nous attaquons un petit raidillon qui n’est pas sans rappeler celui de la veille. Nous évoluons dans un
décor de sapins lourdement enneigés. Quelques branches se délestent de leur poids. Pour être cool, c’est
cool ! A la sortie de la forêt, le village apparaît enfin au bout de la vallée, dans un décor de conte de fée.
L’hospitalité des Plampinards est au rendez-vous et nous nous installons sur une table mais à extérieur de
l’auberge qui est fermée, pour casser la croûte. Trop brève visite du village, célèbre pour les nombreux cadrans
solaires pleins de poésie qui ornent ses vieux murs. Au retour, Chantal est de plus en plus souffrante, nous
empruntons l’itinéraire le plus rapide, qui suit la rivière, et dispose d’un accès à la route au pont des Armands ;
Olivier, notre hôte, appelé à la rescousse vient la récupérer en voiture sur un parking près de la piste. Elle pourra
consulter un médecin le soir même.
Mercredi 8 : Nous avons réservé un repas au refuge du Ricou, (2115 m d’alt.). La piste est large et on peut sans
crainte de faire un faux pas, admirer le panorama. Le ciel est bleu et lumineux, le vent soulève des volutes de
neige et décoiffe un peu les reliefs. Seule ombre au tableau nous ne sommes que douze pour partager ce
délicieux repas, prévu pour treize. A coeur vaillant, rien d’impossible, nous mangeons la part de Chantal sans
difficulté. Pour nous remercier de notre bon coup de fourchette, la patronne du refuge nous offre le digestif qui va
bien après un tel repas. Ne pas oublier que Mercredi, c’est aussi jour de raclette à « l’Auberge de la
Découverte », il nous faut garder toutes nos capacités pour le repas du soir.
Jeudi 9 : Ballade jusqu’aux chalets des Acles (1870 m d’alt.), départ de Plampinet ( 1470m d’alt.), par une piste
où la neige commence à fondre sérieusement, qui s’élève tranquillement en quelques lacets sous le couvert de
pins sylvestres, puis passe en corniche avec vue dégagée, longeant quelques à-pics impressionnants d’un
côté , et les rochers de l’autre sur quelques centaines de mètres. Passé une construction type blockhaus nous
évoluons presque à l’horizontale, traversons un sous bois dans une neige épaisse et reprenons les raquettes
pour ceux qui ne les avez pas chaussées. On découvre enfin les cinq à six chalets endormis sous la neige au
milieu d’une belle vallée d’alpage. Nous dégustons notre repas à côté du chalet Barabbas, du nom d’un des pics
qui dominent le site. Une atmosphère de quiétude et de tranquillité se dégage de ces lieux. L’eau jaillissant
d’une petite source aménagée artistiquement dans un bois mort scintille au soleil. Il est où le bonheur ?...
Retour par le même itinéraire. La neige a déjà beaucoup fondu. Raquettes, pas raquettes, nous finissons par
déchausser. Le bruit d’une avalanche de pierres ou de neige qui explose au loin, fait lever les regards sur les
rochers qui surplombent la piste. On distingue alors quelques chamois qui évoluent sur une corniche quelques
centaines de mètres au dessus de nous. Nous restons un long moment à les chercher du regard et à les
observer, heureux d’entrevoir cet animal emblématique.
Vendredi 10 : Christian et Monique doivent regagner la Charente, s’ils ne se perdent pas en route.
Au programme de cette dernière journée, randonnée direction les « chalets du Vallon » (2174 m), pour 9
randonneurs. Françoise et Marie Edith déclarent forfait au départ d’un sentier plus pentu et vont rejoindre
Chantal et Sylvie pour une escapade touristique à Briançon. Gislaine et Francis décident à leur tour de faire demitour
compte tenu des difficultés du terrain et d’attendre un peu plus bas les cinq randonneurs qui poursuivent
l’aventure. A onze heures et environ à 1900 mètres d’altitude, peu avant la chapelle St Michel, nos cinq
randonneurs s’arrêtent et font marche arrière pour rejoindre Gislaine et Francis et se restaurer.
La fin de la journée « l’Auberge de la Découverte » se déroule dans la joie et la bonne humeur, dans l’ignorance
des embouteillages du retour, et la ferme volonté de revenir au plus vite dans cette belle Vallée de la Clarée.
Séjour en Barrousse - Pyrénées du 27/10/16 au 01/11/16
Diaporama : http://www.kizoa.com/embedDev-77086779-6166152o1l1
Séjour en BAROUSSE -27 octobre au 1er novembre 2016 ;
Participants en vrac (sans ordre précis, voire dans le plus grand désordre): André et Marie Edith, Christian, Evelyne et Yvon, Francis et Gislaine, Francis G, Monique, Marcelle, et Renée
Les trois conditions indispensables pour que notre séjour en Barousse soit réussi ont été réunies, c’est magique ! :
1) Le temps d’abord : Chaque jour le ciel bleu, l’or des arbres, la lumière exceptionnelle, la douceur de l’air, un vrai régal.
2) L’hébergement : « les chalets de St Nérée » offrant un confort suffisant dans une ambiance de colonie de vacances. Nous avons bénéficié d’un traitement de première classe, un cuisinier pour notre repas du soir, pris dans une salle à manger réfectoire à la température un peu fraiche, une responsable le jour et une surveillante de nuit. Et oui on ne sait jamais, une fugue est toujours possible.
Petit bémol pour les accros du net, ça « passe » moyen en montagne, et André a été surpris chaque jours entrain de capter les bonnes ondes en équilibre sur un pied devant le bureau de la Directrice, à l’étage, seul endroit où ça passe…
3) Des itinéraires de randonnées variés mais aussi des visites de patrimoine surprenantes :
Le Château de Bramevaque est un château médiéval en ruine qui offre encore des vestiges intéressants. De la terrasse, au sommet du donjon on peut admirer le paysage de la vallée de la Barousse, mais aussi Marcelle et Evelyne qui discutent en contrebas.
Le mont Tourroc (1541 m) avec un panorama grandiose à 360 ° sur les hauts sommets des Pyrénées aux noms évocateurs, comme l’Anéto (3404 m), la Maladeta (3312m), le Perdiguère (3222m), ou le pic du midi de Bigorre (2872 m), et sur la plaine jusqu’à Tarbes et Toulouse. (dans la mesure où on a une vue perçante) Une belle table d’orientation émaillée, protégée par un kiosque permet de les identifier aisément.
Renée qui fait un « petit coup de calgon » dans la descente, est confiée aux bons soins de Francis G. Deux coureurs d’élite descendent à font de train sur le sentier pour aller chercher la voiture au parking de Sacoué et remonter les chercher par la piste forestière. Une heure (environ) après, à l’endroit où nous les avions laissés, personne. L’ours est-il passé ? Inquiétude, mais pas trop car Francis a été dompteur d’ours dans une vie antérieure. Après plusieurs essais de communication, le portable nous délivre enfin leur localisation. Nous les retrouvons, soulagés, en bon état de marche (arrière).
St Bertrand de Comminges (515 m), circuit en forêt, avec quelques beaux raidillons jusqu’au Mail de Hard (818 m) et retour à St Bertrand de Comminges, cité médiévale pittoresque, avec ses ruelles et maisons à colombage et surtout sa cathédrale à l’architecture imposante qui domine le village. Splendeur des boiseries sculptées du chœur de stalles, du buffet d’orgue, et autres prouesses architecturales.
Marcelle, et Yvon, en rando douce sur St Bertrand, ont la délicate mission de réserver le restaurant. Mission totalement réussie.
Le Bistrot de pays « Chez Martine » vaut le détour à l’instar de la cathédrale. Le repas qui nous est servi est uniquement à base de produits du terroir de qualité, revisités et cuisinés selon des recettes d’inspiration médiévale par une passionnée. Un véritable régal.
la visite de la grotte de Gargas permet à certains de somnoler dans la pénombre pendant la digestion, mais on est tous saisis par une étrange émotion devant ces empreintes de mains sur les parois de la grotte comme autant de messages énigmatiques venus du font des âges.
Pour l’ascension du mont Né, nous laissons les voitures à Port de Bales (1755m).
Nous (André, Marie Edith, Christian, Francis, Gislaine, Monique, Francis G), empruntons l’itinéraire qui passe par le col de Cardouet (2026 m) puis le mont Né (2147 m). Nous profitons là aussi de la vue époustouflante sur les sommets lointains. La redescente est un peu raide par le col de Pierrefite, retour par la piste à Port de Bales où attendent Marcelle, Yvon, Evelyne et Renée qui avez opté pour une rando douce sur cette partie de l’itinéraire.
Beau circuit des villages d’Ourdes, Esbareich, Mauléon Barousse, puis visite de la maison des sources, qui donne à voir et comprendre aux visiteurs tout le cycle de l’eau.
L’eau étant bien-sûr la préoccupation majeure du randonneur en fin de journée, nous rejoignons le gite pour notre dernier intermède culturel avant le repas du soir.
Demain sera un autre jour.